Avec Francine Lancelot, devenue chorégraphe et chercheuse – il n’existe aucune tradition de la Belle Dance – son expérience de soliste balanchinienne, musicienne amateure et comédienne oeuvre depuis à sa musicalité et théâtralité. L’Eclat des Muses (1983), et Cie Belles Dances (2013) visent à investir un art recomposé au croisement de la connaissance et de la création, dans la cohérence des arts baroques.